Mode survie.
Est-ce que ça t’est déjà arrivé de te sentir enfermé dans ton mental ?
D’avoir l’impression de vivre dans une bulle ou rien ne bouge, comme si tu étais imperméable à tout ce qui t’entoure ? Comme si ton corps était le caisson d’isolation sensorielle de ton esprit.
Tu n’es pas tout seul à ressentir ça, car c’est un phénomène naturel qui….
Est-ce que ça t’est déjà arrivé de te sentir enfermé dans ton mental ?
D’avoir l’impression de vivre dans une bulle ou rien ne bouge, comme si tu étais imperméable à tout ce qui t’entoure ? Comme si ton corps était le caisson d’isolation sensorielle de ton esprit.
Tu n’es pas tout seul à ressentir ça, car c’est un phénomène naturel qui peut être causé par différents facteurs, comme un traumatisme trop intense à surmonter en une seule fois.
Dans ce cas, le mode de sécurité automatique se met en route pour te protéger en coupant le récepteur à émotion. Ce mode survie est fort utile sur l’instant mais s’il reste actif trop longtemps, il peut être très handicapant. Mais ce système magnifiquement pensé a des failles, ou plutôt on n’a pas le mode d’emploi pour comprendre ce qui se joue.
L’une des étapes de ce phénomène est peut être que notre système de sécurité divise le traumatisme en plusieurs morceaux pour pouvoir le digérer en plusieurs fois.
On pourrait imaginer au moment du choc que notre esprit crée un couloir avec des portes de chaque coté qui symbolise le nombre de parts à digérer. Ainsi, pour ouvrir une ou plusieurs portes, il faut un élément déclencheur, « sensation, émotion, ressenti », que la vie s’efforce de nous mettre sur notre route. Ces éléments sont peut être les clefs ouvrant les portes du couloir.
Mais tu te dis inconsciemment ou pas que tu ne veux plus revivre cette émotion et donc les portes s’entrouvrent et se referment continuellement, sans pouvoir digérer ce qu’il y a derrière.
Peut être que si tu reconnais et laisse cette émotion te traverser en te disant que c’est un moyen d’évacuer et donc d’avancer dans le couloir émotionnel en ouvrant les portes sans les refermer, cela te permet de prendre conscience que ce qui t’arrive n’est pas contre toi mais pour toi.
Que ces émotions ne sont pas là pour t’enfermer encore et encore dans le traumatisme subi il y a tant d’années mais pour t’en libérer. C’est peut être ainsi qu’à la dernière porte le couloir s’effondre pour laisser la place à un souvenir d’une expérience traumatisante.
Si je te parle de ça, c’est que je l’ai vécu pendant des années sans le comprendre ni même en avoir conscience et donc je ne faisais que subir en boucle des émotions que je ne voulais plus ressentir, à tel point qu’elles n’existaient plus, je ne les voyais ni les ressentais plus, tel un robot.
Maintenant, c’est un peu plus facile pour moi. Mais il y a toujours des hauts et des bas, la vie dans mon monde est ainsi faite.
Si tu le souhaites, on peut échanger sur nos différentes expériences de vie.
A tout de suite de l’autre côté.
Vincent.
Relation-conscience
La conscience.
Qu’est ce que la conscience ?
Est-elle une invention de l’homme ?
Partons du principe que la conscience existe.
Donc elle existe, mais où se trouve-t-elle ?
Est-elle une partie de notre cerveau, différente en chacun de nous, une pensée commune créée au fil
La conscience.
Qu’est ce que la conscience ?
Est-elle une invention de l’homme ?
Partons du principe que la conscience existe.
Donc elle existe, mais où se trouve-t-elle ?
Est-elle une partie de notre cerveau, différente en chacun de nous, une pensée commune créée au fil du temps dans un principe de bienveillance les uns envers les autres mais adaptée selon nos convictions et besoins propres. Soit dit en passant, ça expliquerait pas mal de dysfonctionnements dans notre société.
Mais si la conscience était une entité ?
L’ individu-conscience serait la globalité de tout ce qui existe, en gros la somme de toute chose.
Se pourrait-il qu’elle soit le lien de tout ce qui est ?
Si je suis ma logique et continue ma réflexion de l’article relation, alors le corps, l’esprit et la conscience sont des éléments distincts ne pouvant pas vivre séparément, ce qui pourrait nous donner quelques chose comme ça :
corps + esprit + conscience = 4
Alors l’esprit fait l’expérience de l’individualité par le corps tout en étant dans l’unité de la conscience qui fait l’expérience de l’individualité à travers l’esprit.
L’esprit prend conscience de la conscience et donc la fait exister.
Alors si nous perdons conscience que se passerait-il ?
Ne serait-ce pas la fin de l’expérience et la mort de l’esprit ?
Depuis la nuit des temps nous croyons et imaginons des dieux tout puissants qui ont le droit de vie et de mort sur terre. Alors pourquoi ne pas imaginer nos cellules composant notre corps avoir un esprit faisant l’expérience de l’individualité dans le corps-cellule à l’intérieur de nous.
Dans ce cas ne somme nous pas leur dieu ?
Nous avons bien le droit de vie et de mort sur nos cellules sans même le savoir, non ?
En allant à l’extrême : je décide de me suicider, à ce moment-là toutes les cellules qui composent mon corps font l’expérience de la fin de l’univers dans lequel elle vivent.
Ou je reçois un choc qui fait mourir quelques cellules, les parents et les frères et sœurs font alors le deuil de leur enfant dans cet univers qui est mon corps.
Dans ce cas, je vous pose la question, tout en suivant mon raisonnement.
Ne serait-ce pas possible que l’on ne soit que des cellules dans un corps à la complexité et à la forme à mille lieux de ce que l’on peut concevoir ou même imaginer ?
Relation 1-2
Et vous, où en êtes-vous dans votre relation avec vous-même ?
Je me suis posé la question sur les rapports entre le corps, l’esprit et la conscience.
Peut-on considérer qu’il s’agisse d’éléments distincts ou d’une seule entité ?
Si l’esprit communique avec le corps et le corps avec l’esprit n’est-ce pas un indice dans le fait……..
Et vous, où en êtes-vous dans votre relation avec vous-même ?
Je me suis posé la question sur les rapports entre le corps, l’esprit et la conscience.
Peut-on considérer qu’il s’agisse d’éléments distincts ou d’une seule entité ?
Si l’esprit communique avec le corps et le corps avec l’esprit n’est-ce pas un indice dans le fait que ce sont deux entités vivant en symbiose mais notre ego nous donne l’illusion qu’on a le contrôle sur le corps.
Toutes les personnes qui aiment leur corps sans condition et sans jugement, sont en général en bonne santé. A l’inverse, ceux qui ne supportent pas leur corps, développent des désagréments voire des maladies.
Donc, si je suis mon raisonnement, il y a bien un dialogue, un échange entre ces deux entités qui ne peuvent vivre séparément, jusqu’à preuve du contraire.
Partons du principe que la vie nous prête une machine, un moyen de locomotion en quelque sorte, doté d’une multitude de capteurs avec lequel notre esprit, ou notre âme, comme vous voudrez, vient cohabiter pour faire l’expérience de la vie terrestre.
Au début de cette cohabitation tout se passe sans jugement.
Le corps et l’esprit sont dans l’apprentissage sans les mots. Ce n’est qu’un dialogue de sensations, de ressentis agréables ou désagréables. Le corps exprime ses besoins et l’esprit observe et apprend pour trouver des solutions aux besoins du corps.
Par la suite, cela se complique car le corps s’exprime d’une façon, l’éducation contredit et l’esprit observe et apprend la confusion entre les informations naturelles et éducatives. Une observation sur le comportement d’un enfant : dans un parc, il montre sa joie en courant partout . Sa mère qui a peur pour lui, le réprimande. L’esprit de l’enfant a donc des informations contradictoires: la joie du corps, la sanction de la mère, du coup l’esprit contrôle le corps pour éviter que l’émotion désagréable se reproduise. Donc j’en déduis que l’esprit par l’apprentissage du modèle sociétal oublie que le corps parle !
On entend toujours ces besoins physiologiques mais n’y a t’il pas plus à écouter et à comprendre ?
Si le corps pouvait nous parler ou nous envoyer des sms pour nous dire plus simplement « je ne veux pas de ça car cela ne me convient pas » ou bien « oui je veux bien que l’on tente cette expérience pour tes besoins de découverte ». Mais ce n’est pas aussi simple car il faut réapprendre la langue de son corps.
Sur cette lancée, je vais essayer de considérer le corps et l’esprit comme deux compagnons de voyage tels des amis sur un chemin de randonnée, discutant et échangeant sur leurs besoins.
Et vous, pensez-vous que le corps, l’esprit et la conscience ne font qu’un où sont ils dissociables ?
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Relation
Où en êtes-vous de votre relation à vous -même ? La relation peut prendre d’innombrable formes et réflexions, même peut être autant que de formes de vie sur terre ; voir au-delà. Je me pose la question de ma propre relation avec moi même. Je me suis aperçu que je parlais souvent seul à voix haute ou en pensé et je me suis mis à observer cette relation qui est…
Et vous où en êtes-vous dans votre relation ?
La relation peut prendre d’innombrable formes et réflexions, même peut être autant que de formes de vie sur terre ; voire au-delà.
Je me pose la question de ma propre relation avec moi même.
Je me suis aperçu que je parlais souvent seul à voix haute ou en pensée et je me suis mis à observer cette relation qui est parfois positive ou toxique.
En les observant, je me suis rendu compte que les dialogues toxiques perdent du terrain et ouvrent de nouvelles relations avec des « moi » plus en accord, plus vrais.
Le travail plastique des œuvres que je produis suit cette relation en perpétuelle mutation.
Je me demande souvent si je suis seul à écouter mes pensées ou à réfléchir sur une réponse spontanée en me demandant si c’est moi qui ai parlé.
D’où viennent ces pensées ?
D’où vient l’inspiration ?
Quand je crée, je ne pense pas et quand je pense, je ne peux pas créer. Mais si je n’ai pas pensé avant, le calme de l’inspiration ne vient pas : dilemme !
La relation que j'essaie de mettre en place aujourd'hui avec moi-même est basée sur l’observation de mes productions et la réflexion qui en découle comme un filtre qui matérialise une piste, une idée, une pensée.
J’observe les personnes que je croise afin de voir si elles aussi sont en constante réflexion avec elles-mêmes.
Où en sommes nous sur le chemin de l’ignorance ?
Qui détient la vérité ?
Personne peut être… ou tout le monde, car tout le monde pense avoir raison et ceux qui pensent avoir tort sont dans la vérité d’avoir tort.
On vit dans un monde plein de contradictions sur tout et n’importe quoi.
Selon moi, la plus belle contradiction, c’est la peur car celle-ci ne sert qu’à mettre en évidence des problématiques à travailler. Mais la plupart des personnes les repoussent sans les affronter ce qui les amplifie et les enferme plus profondément dans leurs bunker intellectuel.
Si je considère avoir raison et ne veux pas écouter les contradictions n’est ce pas parce que j’ai peur d’avoir tort ?
Si je reste focalisé sur ce que je veux dire et donc n’écoute plus la conversation, ne vais-je pas faire une réplique hors contexte au moment où je vais prendre la parole ?
Si je fais des monologues ne serait-ce pas par peur d’être contredit ?
Tout cela pour dire qu’il y a une multitude de relations et encore plus de réflexions sur chaque relation et une infinité d’angles de vue sur chaque réflexion et ………. stop ça bug, je vais laisser la place au calme et aller créer.
La relation à la conscience, prendre conscience que l’on est en relation perpétuellement avec tout ce qui nous entoure.
Peut-on considérer qu’une relation se crée lorsque je contemple une pierre qui me plaît. Mais si je ne prends pas conscience de ce dialogue émotionnel, si je ne l’observe pas, existe-t-il ? C’est identique pour les pensées, est ce que je rentre en relation avec elles si je ne les observe pas ?
Et si je les observe sont-elles les miennes ?
On parle souvent de la conscience collective donc si je considère que les pensées intuitives qui nous traversent n’appartiennent pas qu’à une personne mais qu’elles se baladent et qu’on les capte ou pas, peut-on réapprendre à communiquer, et donc rentrer en relation avec un « soi »qui n’est pas vraiment « soi » mais une conscience qui parle de « soi ».
L’homme a toujours voulu entrer en relation avec son environnement pour avoir des réponses.
Je pense que l’on a toutes les réponses inscrites dans notre ADN que l’on peut appeler aussi mémoire cellulaire mais qu’on a perdu le mot de passe pour y accéder.
Si on considère que l’on garde tout le patrimoine génétique depuis le début de la création et donc toute la mémoire cellulaire, ne faut-il pas chercher le code ?
Par la suite, on s’apercevra peut être que notre corps n’est qu’une cellule composée de cellules dans un corps céleste et qu’il n’y a qu’une relation à trouver pour être en paix avec ce qui nous entoure. C’est la relation avec nous, avec la conscience, avec l’ADN.
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